Mécénat, Témoignage

Baalbek Management devient mécène de l’École

La société Baalbek Management participe au programme de bourses d’études de l’ENS Paris-Saclay dans les domaines énergie, innovation, data science, développement durable, smart grid, nouvelles mobilités et décarbonation.

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La société Baalbek Management apporte son soutien aux normaliens

Baalbek Management est un cabinet de consulting qui intervient sur des missions de conseil opérationnel ou stratégique et de data science, auprès de grandes entreprises telles que TOTALENERGIES, ENGIE, VEOLIA, ENEDIS.

D'après sa directrice, Tamara Leros « Ce secteur vit depuis quelques années une mutation profonde. La transformation à l'œuvre nécessite un accompagnement éclairé, ouvert et pragmatique. Nos consultants et data scientists s'efforcent chaque jour d'apporter de la valeur ajoutée à nos clients, dans une relation saine et durable. »

Afin d'impacter l'avenir du secteur, la société Baalbek Management s'est engagée sur plusieurs actions :

  • participer au programme de bourses d’études de l’ENS Paris-Saclay pendant 3 ans ;
  • parrainer ou marrainer des étudiants ;
  • accueillir des étudiants en stage.

Les normaliens chez Baalbek Management

Après avoir apprécié les compétences des normaliens recrutés, Tamara Leros a contacté l’École. 

Plusieurs normaliens travaillent chez nous et il me semble intéressant de participer au développement de l’école, dans la continuité. En France, il y a parfois une fracture entre les écoles et les entreprises. Moi qui ai une culture anglo-saxonne, je trouve naturel de renforcer les liens entre la recherche, la formation et l’entreprise. L’ENS a une image très positive, elle forme des diplômés dotés d’une grande curiosité et d’un haut niveau de connaissances pour répondre aux enjeux actuels.

Du mécénat financier au mécénat de compétences

Baalbek Management pourrait s’engager plus, en particulier en mécénat de compétences. 

Si l’on arrive à recruter des normaliens, c’est grâce à la qualité des missions proposées à nos collaborateurs, ainsi qu’à l’environnement de travail sain et stimulant qu’ils trouvent chez nous. La France forme des élites comme nulle part ailleurs dans le monde. Mais, malheureusement, les entreprises françaises recrutent trop les candidats sur leur diplôme et sur des critères stéréotypés, au détriment de qualités tout aussi essentielles. Et d’une manière générale, les étudiants français ne savent pas se présenter, particulièrement ceux non-issus du moule des grandes écoles d’ingénieurs. Lorsqu’une entreprise reçoit un normalien dans le cadre d’un recrutement, le chargé de recrutement se demande ce qu’il va pouvoir faire de cet « expert ». Je pense pouvoir aider les normaliens à formuler leur capacité à s’adapter aux divers profils dans l’entreprise, pas seulement pour parler aux techniciens, mais aussi au département marketing ou aux clients. C’est la richesse de l’ADN normalien qui est intéressante pour l’entreprise, encore faut-il savoir la mettre en valeur ».